Une croyance limitante trans-générationnelle - 4 -

Maria Loire


Je vous laissais dans mon précédent article, avec cette image, un peu provoc, je reconnais, et pourtant, je l’ai vraiment reçue par message, mais vous pensez bien que j’avais « une idée derrière la tête » au cœur de la provocation et ma première intention était d’abord de vous laisser poser votre vision, avant de bousculer quoique ce soit chez vous.

VULGARITÉ : c’est le mot qui me vient, et  un autre mot arrive : SALACITÉ, peut-être plus approprié,  pour exprimer ma gène, en face de ces propos qui tourne sérieusement autour de la sexualité. Et au moins celui-ci ne porte pas mon vécu d’enfance, mes origines ne m’ayant pas confrontée à une grande richesse de vocabulaire.

 Cette vulgarité qui cache tant de manque de confiance en soi, ce si grand besoin de se prouver que tant que « la bite est en érection » - continuons dans le même registre – « c’est que je suis encore vivant et que je peux satisfaire une femme ».  possiblement prouver que je suis un homme ?

SIMPLE AVERTISSEMENT AUX HOMMES QUI ME LISENT  et en toute bienveillance,: 😀 😀 j’ai bien étudié pour ce même « client » particulier- chéri je garde ton anonymat – les effets de la masturbation à outrance, sur la prostate et ces petits ou plus grands maux qui en découlent - bon si c’est trop tard pour vous, cela m’a conduite à étudier des protocoles avec les huiles essentielles aussi, pour l’érection des huiles aphrodisiaques, et pour les maux de la prostate tellement d’autres.

  • Est-ce réservé aux hommes, le fait de se vanter de choses qu’ils ne pratiquent pas ?`
  • Ou bien est-ce une entrée en matière, une perche tendue pour engager la conversation, pour faire réagir, les femmes, le plus souvent, quand il n’est facile de s’ouvrir simplement à l’autre, à sa ou son partenaire de jeu. ?
  • La sexualité  est-elle, encore, un sujet tabou pour beaucoup, et toute à la fois une arme secrète de pouvoir. 

Transition toute faite, à cet endroit-là, j’en reviens à ce qui m’occupe ces jours-ci. 


Comment passons-nous de l’intelligence qui rend bête, à la castration de l’homme par la femme, car oui c’est bien ce dont il semble s’agir, dès lors que nous partons des conséquences visibles au lieu de partir de la source, de la racine, de l’origine de l’histoire, dès lors que nous cherchons un coupable dans l’histoire, dès lors que nous sortons du factuel..

La bêtise peut aussi être associée à l’image présentée hier.

J’y ai associé le mot « vulgarité » car vraisemblablement pour moi, c’est ce qui reste, ce qui n’a pas été alchimisé en moi. 

De plus, je suis assez partisane, puisque connaissant assez bien l’auteur de l’envoi, peut-on désaimer un partenaire d’expérience ? De là à considérer comme bête, celui qui pourrait commettre – mettre devant, étymologiquement – une bêtise, il y a un pas que je ne franchirai plus aujourd’hui. 

JE PROPOSE DE RESTER DANS LE FACTUEL,

Et de vous retrouver pour la suite de mes divagations.😀😀😀

Et si Messieurs, ou Mesdames, vous éprouvez le besoin de parler, d'aller contacter la racine des maux, pour mieux les éradiquer, prenez rendez-vous.  un sms peut aussi convenir, dites-moi votre prénom et le motif de votre appel, je vous recontacte pour accorder nos agendas