Maria Loire M Maria Loire
Passage à l'action.
Ce matin, j'ai choisi le passage à l'action, après des jours de procrastination. Il était à paine 6h30, lorsque j'ai ouvert zoom pour échanger avec vous.
Ce matin, j'ai choisi le passage à l'action, après des jours de procrastination. Il était à paine 6h30, lorsque j'ai ouvert zoom pour échanger avec vous.
Un titre posé sur la page de mon journal, et qui attendait, se laissant repousser par de nouveaux écrits. Attente ⁉️, mais qu’est-ce à dire attente ⁉️ Tous comme les lutins qui , ne le dit-on pas, attendre de savoir si les enfants ont été sages, pour œuvrer à la distribution des cadeaux.
Infinie gratitude à toutes celles qui m'ont ,sans le savoir, poussée dans mes retranchements sur ce thème. Et pour les en remercier, j'ai été également "possée" à non pas modifier l'offre de novembre, mais à la compléter.
Bonjour, chanterez-vous avec moi ce matin, cet hymne à nous-mêmes, nous exultons dans le sein des saints. Au cœur de nous-mêmes, le cœur exulte de joie, moment de grâce, qui trop souvent pour moi, je ne sais pas pour vous, est suivi de moments de disgrâce.
Dans notre quête incessante d'épanouissement personnel et de contribution significative au monde, nous sommes souvent confrontés à un dilemme : comment équilibrer l'attention que nous nous portons à nous-mêmes avec notre désir de servir les autres ? Cette question, loin d'être anodine, touche au cœur de notre bien-être et de notre capacité à impacter positivement notre entourage.
Un lieu d’accueil et de ressourcement sur le chemin.
Choisir un titre pour un article, souvent un dilemme pour moi quand dans ma réalité, ce sont des phrases entières qui me poussent vers l’écriture. D’ailleurs la phrase exacte était celle-ci :
PARDON AUX LAPINS 🙏🏾🙏🏾🙏🏾, non je ne deviens pas végane, simplement je me pardonne pour toutes les fois où je n’ai pas remercié et honoré les lapins que j’ai dépouillés pour en faire ma nourriture, ET MÊME CEUX QUE JE N’AI PAS DÉPOUILLÉS MOI-MÊME.
Bonjour, je suis tellement heureuse de partager avec vous, ces notes d’espoir avec la série des « de...à… », en passant des leçons de couture, de l’école de mon enfance à cette belle ouverture sur les petites mains de la Lumière.
Bonjour, dans la série les « De…à… », - oui, il en est ainsi, je démarre avec un article ou deux, et c’est une série qui se manifeste., qu’il s’agit ensuite de nommer - . pas de sujet imposé par qui que ce soit, la liberté d’expression la plus totale, la matheuse, la reine du plan a laissé sa place à la littéraire, voir l’article – à la main au service de l’inspiration.
Coucou, et retour vers la terre promise, évoquée hier la mienne cette fois. Accueillir c’est dans mon ADN, même sur un trottoir, je peux m’installer et ouvrir les bras, pour des free-hugs. J’ai transformé une chemise de mon fils, elle est donc assez grande pour être enfilée par-dessus des vêtements et j’ai cousu les lettres Free Hugs dans le dos. Dans mon ADN également, préparer la maison pour l’hôte qui s’en vient, j’ai trouvé un tel bonheur à être au service des pèlerins en tant qu’hospitalière. J’ai loué des lieux et tout organisé pour des Festivales des Z’ÉveiLLeurs par exemple, ou bien encore organisé, cuisiné pour des soirées dansantes privées avec 80 personnes.
Cette épopée du peuple d’Israël est tellement symbolique, et conforme à ce que vivent tant de communautés. La plus petite des communautés, compte deux personnes, un couple quel qu’il soit : mère-enfant, frère-sœur, conjoint, …etc. Et ce n’est pas anodin si j’évoque frère-sœur, juste après mère-enfant, c’est simplement parce que les grossesses multiples se produisent en grand nombre, elles n’ont pas attendu les méthodes extranaturelles de fécondation. Une sage précaution de la nature pour le maintien de l’espèce ? Plusieurs ovules sont fécondés, et plus ou moins rapidement, les plus fragiles sont évacués sans que la mère s’en aperçoive nécessairement. Mais pour celui qui reste « accroché », c’est déjà un éclatement de la communauté, un déchirement, un deuil. Plus aucune communication possible, plus aucune réponse, le silence, rien que le silence.
Extrait du journal intime d'une entraineuse , mercredi 8 juin 2025 à 14h30
Bonjour à vous tous pêcheurs du dimanche ou pêcheurs aguerris, et merci de votre présence à mes côtés. Que nos chemins se croisent pour un instant ou bien que nous cheminions de pair et pour un moment prolongé. Il s’agira de pêche, aujourd’hui, dans cette série de sujets sur l’avant et l’après. Vous les voyez ces photos ? Ces avant régime et après transformation, les plus nombreuses vantent en général des produits d’amincissement, et raté 😀, ici, le pêcheur se réjouira de voir grossir sa prise.
« Dis, tu peux te pousser un peu, ton père, il est pas vitrier », là c’est la formule assez cool, une réplique à laquelle vous avez peut-être comme moi, été confronté. Ben non mon père il est forgeron 🤣 et ce n’est certainement pas la raison qui fait que mon opacité pouvait déranger mon entourage parfois. La transparence, c’est indispensable pour laisser passer la lumière.
« De la louve solitaire à la cheffe de meute », voici ce qui se pose ce matin, et comment j’en suis arrivée à ce titre ? Mon esprit de synthèse qui refait surface, tiens donc, « la matheuse, le retour », n’y aurait-il pas un soupçon de réunification ?
Si j’écoute mes ressentis, ma peur de l’eau, de ne pouvoir m’éloigner du bord de la piscine sans tenir une main et encore à condition d’avoir pied, je confirme l’idée que dès le jour de ma naissance, j’avais une seule envie, celle de repartir. Les grossesses multiples sont légion et sans que les mères s’en aperçoivent, les ovules fécondés étant parfois « évacués » naturellement. Mais pour celui qui reste seul, alors qu’il était convenu qu’ils seraient deux ou trois pour aller au turbin, c’est un premier abandon et un premier deuil. Alors ce corps, ce véhicule choisi, il embarrasse. Il ne vient pas à l’idée d’en prendre soin. Je devais être un peu casse-cou, je devrais poser la question à maman, au sujet de cette fameuse chute d’un tas de foin qui m’a valu une bosse longtemps perceptible et une visite chez le rebouteux, je crois.
J’ai été cette fille, qui a 14 ans, quittait le domicile familial pour l’internat et qui après cinq km en vélo, empruntai le car - on ne disait pas bus, ce n’était pas les transports scolaires, simplement la ligne régulière entre Baugé et Angers, effectuant le trajet inverse un samedi sur deux pour y revenir. Johnny, Sylvie ou Françoise, Sheila qui chantait l’école est finie, j’avais peu l’occasion de les entendre, ni à l’internat, ni à la maison. Les garçons arrivaient, mobylettes ronflantes, lorsque les vacances scolaires arrivaient, « et dans ces moments-là, la fille à qui je pense, est plus belle que toi » ou bien « noir, c’est noir, il n’y a plus d’espoir », revenaient en boucle à mes oreilles.
Deux genres qu'on opposait, un peu une rivalité, entre les garçons et les filles avant un certain mois de mai 1968.
Est-ce que vous dansez ? Seul ou bien en couple ? S’abandonner à son partenaire de danse, acquérir de la souplesse.
Danser avec la vie, s’abandonner dans ses bras, pour plus de fluidité et de légèreté : lâcher le contrôle.