Extrait du journal intime d'une entraineuse , mercredi 8 juin 2025 à 14h30
Et voilà, j’ai oublié le coaching du mercredi. Bravo, très chère ! … ben oui, c’est moi la très chère, et de plus en plus chère, consciente de sa valeur.
En fait aujourd’hui j’avais envie de papotage, et cela s’est présenté : Marielle, Christophe, mon photographe préféré, et quelques commentaires sur Facebook. Bon il est temps que je sorte de la maison. Entre six et sept le matin, les chemins sont assez déserts par chez moi.
Et je scrolle sur l’ordi et je n’arrive pas à replonger dans l’écriture…et ce petit coucou qui refait surface, et que je partage sur Facebook, un truc que j’avais prévu de faire … les to-do-listes, j’en prends le chemin, c’est génial pour vider libérer de la place. Et le moindre partage devient, point de départ d’un témoignage et/ou d’une introspection.
Et là l’idée du jour c’est : qu’est-ce que je veux vraiment, puisqu’encore une fois ça marche 🙏🏾
Bon, pour une paire de chaussures, c’est assez simple - je crois que j’en ai déjà témoigné - et pas très engageant émotionnellement parlant. C’est un peu comme les places de parking,
Mais pour des recommandations par exemple, ça traine un peu plus, si bien que tu as fini par oublier que tu les avais demandées.
Normal, ton attente était trop intense encore. Ne rien attendre, espérer c’est déjà douter. Et puis tu récures ton chaudron, exit les attentes, tu passes du manque à la plénitude – l’article publié ce jour – tu affirmes JE SUIS PLENITUDE – genre en Harley Davidson, je n’ai besoin de personne, mais celle-là, je vous l’ai déjà faite quelque part, à moins que ce ne soit pas moi, plutôt une certaine Brigitte B.
Et là ça arrive, absolument pas des personnes que tu avais sollicitées …non, mais simplement de ton ostéopathe préférée, celle dont tu as ressenti tout le potentiel d’éveilleuse lors de votre première rencontre – à minima 7 ou 8 ans déjà – qui ne le connaît pas encore elle-même et à laquelle tu as simplement glissé quelques mots éclairants à propos d’une intervention programmée pour elle. Oui on peut dire « tout vient à point à qui sait attendre, à condition que durant cette attente, tu bouges des trucs en toi.
Et si toi aussi tu sais ce dont tu as envie, et si malgré tes demandes, cela n’arrive pas, il est peut-être venu le moment de te faire accompagner. Pas pour les places de parking, ça tu peux jouer tout seul, mais pour un projet de lieu d’accueil par exemple, On en parle lors d’un premier rendez-vous offert, en nous sentant libres de nous engager ou non, c’est aussi simple que ça.
